L'histoire de Téor Les druides La charte du druide
Point de départ Parc de Pointe-à-Pitre (parking situé rue du stade)
Durée du circuit 1h30
Public concerné Tout public (adultes, enfants, personnes à mobilité réduite)
LE CIRCUIT
Pour résoudre l’énigme et retrouver la Serpe de Téor, vous trouverez pour chaque lieu décrit ci-dessous un indice.
Pour la version à destination des enfants, l’énigme à résoudre s’effectue sous forme de questions que vous retrouvez de la même façon que pour l’énigme principale (pour plus de facilité, il est préférable que chaque enfant dispose du questionnaire en version papier ou dispose de l’application smartphone au cours de la visite).
Vous avez le choix pour réaliser la visite en toute autonomie :
- Commencer la visite en déroulant les infos de cette même page.
- ou téléchargez l’application pour smartphone (Androïd)
Pour vous repérer, voici le plan du circuit avec les lieux à visiter. Chaque site est aussi répertorié avec un lien Google Maps.
Excellente visite.
ÉNIGME
Avec Riwall vous compterez les pas en descendant la rue de l’ancienne école dans le bon sens. D’une vieille demeure, Alarig vous montrera au delà de Sainte Radegonde l’origine où Eoghan vous orientera vers un être sacré. Une femme, connue de Morwenna, vous indiquera la direction opposée.
Site n°1 Le parc de Pointe à Pitre
Sur le site de Pointe-à-Pitre commence le circuit de La Serpe de Téor. Laissez-vous guider sur chacun des sites du circuit grâce aux druides qui nous comptent l’histoire de La Bruffière…
Site n°2 Le guet-apens de la Grange
Située rue du Calvaire et rue de la Grange
En ce début de janvier 1796, le général Charette, pressé de tous côtés par les Bleus, décide de se reposer au logis de la Grange à la Bruffière avant de poursuivre son périple vers les Mauges… En savoir plus Découvrir l'indice
Site n°3 La forge à Berlette – Rue de la Durmelière
Située à l’angle de la rue de l’Arceau, et de la rue de la Durmelière
Au début du siècle dernier, vers 1905, depuis plusieurs soirs, à la tombée de la nuit, il s’y passe des choses étranges. Soudain, l’enclume se met à résonner comme si quelqu’un venait d’y donner un coup de marteau. On a beau regarder, personne à l’intérieur. En savoir plus Découvrir l'indice
Site n°4 La maison De Coucy
Située sur la place Jeanne d’Arc et à l’angle de la rue de Lattre de Tassigny
L’origine du bourg de La Bruffière demeure inconnue. Sa première dénomination figurant dans une charte de 1287 est « Brefer ». Il s’articule alors autour de la demeure des « De Coucy », puissante famille féodale qui doit son titre à la terre De Coucy en Ile de France (dans l’actuel département de l’Aisne). Leur devise sonne comme un défi : « Roi ne suis, ni prince, ni duc, ni comte, je suis De Coucy ».
En savoir plus Découvrir l'indice
Site n°5 Le meurtre de Servanteau (Auberge du Cheval Blanc)
Située sur la place Jeanne d’Arc et à l’angle de la rue du Cardinal Richard
Notre premier maire Charles Servanteau, seigneur de l’Échasserie, seul noble libéral de la région, se signale par son zèle révolutionnaire : « le 11 juillet 1791, Charles Servanteau de l’Echasserie venu à Tiffauges, tambour battant avec 30 au 40 hommes armés, lesquels pénètrent à cheval dans les églises de Notre-Dame et de Saint Nicolas, de cette ville pour briser à coups de haches les deux bancs seigneuriaux et, après avoir mis les débris sur la place de Notre-Dame, en ont fait un bûcher auquel ils ont mis le feu et l’on fait brûler ainsi que le « pal » public et les deux « mais » des places Notre-Dame et « Saint Nicolas ». En savoir plus Découvrir l'indice
Site n°6 La statue de Napoléon / Jeanne d’Arc
Située sur la place Jeanne d’Arc
Pourquoi en 1866, cette place était-elle nommée Place Napoléon sous le mandat du Maire Baron ? Le 16 octobre 1864, la municipalité de La Bruffière inaugure sur la place une statue en terre cuite de Napoléon 1er, représenté debout, une lorgnette à la main. En savoir plus Découvrir l'indice
Site n°7 L’Église Sainte Radegonde et son trésor
Située sur la place Jeanne d’Arc
L’ancienne église de La Bruffière, dédiée à Sainte Radegonde, s’élevait à l’emplacement de l’église actuelle. Adossé à un clocher à la base carrée, sans doute d’époque romane, le chœur, plus haut que la nef et couvert d’une toiture à hauts combles, présentait un chevet plat aux remarquables remplages gothiques flamboyants. On sait que l’édifice connaît de profonds remaniements aux XVè – XVIè siècles et à la fin du XVIIè siècle. En savoir plus Découvrir l'indice
Site n°8 Le retable et l’Autel de la chapelle du Rosaire
Situé à l’entrée du cimetière (rue du 11 novembre)
La chapelle de Saint Dominique et de Notre Dame du Rosaire, s’élevait en bas de la place publique du bourg de La Bruffière (actuellement dénommée Place Jeanne d’Arc) et regardait l’Eglise Sainte-Radegonde. Cette chapelle, dédiée à Saint Dominique, en l’honneur du Très-Saint Rosaire, fût batie par Antoine Badreau pour sa fille Claire, religieuse. En savoir plus Découvrir l'indice
Désormais, la visite s’achève ! Si vous avez choisi de résoudre l’énigme que vous a laissé Téor, vous avez donc la lourde tâche de retrouver la Serpe, cachée quelque part à La Bruffière…